Si on se fie au VPIP et PFR de nos beaux trackers, on en déduit les range de nos adversaires. Faire la différence entre les joueurs à attaquer et les autres dépendra de votre expérience et de la dynamique du jeu en général. Les joueurs qui relancent beaucoup en milieu de parole peuvent être exploités de la même façon.
- Autour de 30 c’est une valeur standard.En dessous, le joueur ne vole pas assez ou alors uniquement avec de bonnes mains.
- Deja si le VPIP et le PFR t’aide (en fonction du nombre de main ) de classer un joueur entre large/serré passif/agressif c’est déja pas mal…
- Mon tracker me dit que ce joueur a 3bet 7% du temps mais il peut tout aussi bien sur-relancer seulement AA ou une main sur cinq.
- Il est évident que vous devez punir ce type de joueur en envoyant plus souvent des seconds barrels.
- Plus la valeur est faible, plus on a affaire soit à une calling station, ou à un joueur qui aime faire des moves postflop (floating).
- Soit vous ne l’avez pas fait, et vous pouvez la retrouver dans votre base de données en la filtrant par main de départ, par argent gagné, ou par adversaire…
Ils en profitent donc souvent pour relancer avec presque n’importe quelles cartes pour voler les blinds (en particulier dans les phases intermédiaires des tournois avec antes). Si jamais un joueur paye après une relance UTG, il est assez simple de représenter une grosse main sur flop. C’est pourquoi certains joueurs appellent la position d’UTG le “nouveau bouton”.
วิธีใช้ Position บนโต๊ะโป๊กเกอร์
Le problème est que ce type de joueurs ne reste jamais assez longtemps à la table pour enregistrer un nombre de mains suffisant et en tirer une quelconque information. Déterminer sa sélection de mains est non seulement inutile mais surtout impossible. Après cent mains, votre adversaire n’aura